Nous avons décidé de supprimer un noisetier placé trop près de la clôture mitoyenne. La première étape a été de scier toutes les tronc à une certaine hauteur.

En parallèle à la seconde étape consistant, pour Ma-Dame, à dégager les racines, j'ai pris en charge le débitage du bois.

Certaines branches atteignent presque les huit mètres de haut (ou de long dans le cas présent). Outre le sciage des plus grosses pour en faire un tas facile à déplacer, je me suis donné pour mission de trier le bois ainsi coupé en fonction du diamètre et de transformer les extrémités constituées de mini branchouillettes et de brindilles en un tas exportable dans des sacs.

Il y a encore du grain à moudre et des courbatures en perspective, notamment et surtout du côté des pierres et du déracinage. Ce sera plus tard, quand le temps le permettra. Parce que là, présentement, c'est froidure, humidité, rafales.

Le fond de la tanière est plus confortable.