Camion-nacelle du couvreur en action
(photo prise hier, 23/09/2021)
Enfin !...
Après un devis estimatif établi début mars, voici venu le temps de l'action. L'impact du/de la COVID sur les chantiers (nombre croissant de demandes de travaux et difficultés d'approvisionnement des matières premières et/ou transformées) a fait que notre couvreur habituel n'a pu intervenir qu'hier.
Travaux demandés : pose de grilles finement ajourées entre tuiles du toit, gouttières et bandeaux pour empêcher les trop nombreux moineaux de s'installer définitivement et de fienter sur les appuis de fenêtres, le sol du balcon voire les vitres quand le vent s'en mêle. Espérons que, ce coup-ci, nous soyons exemptés, enfin, de cette pollution animale possiblement porteuse de grippe aviaire.
Le jardin est grand, les arbres nombreux, nous avons même planté de la charmille et mettons à disposition chaque printemps des nichoirs nettoyés chaque automne afin de faciliter la nidification de nos charmants volatiles.
1. par marielouis, le vendredi 24 septembre 2021 à 13h29 commentaire
C'est que vous avez l'amour des animaux ! Même le camion a 4 pattes et veut lui aussi monter sur le balcon...
2. par Ginou, le vendredi 24 septembre 2021 à 17h19 commentaire
Je suis sûre que dans le jardin les oiseaux on tout l'espace pour vivre joyeusement leur vie et poser pour le photographe.
3. par Colette, le vendredi 24 septembre 2021 à 21h14 commentaire
Et hop, voilà une bonne chose de faite ! et sans pénaliser les petits oiseaux, ce qui est encore mieux !
4. par mirovinben, le samedi 25 septembre 2021 à 07h15 commentaire
marielouis, merci pour l'éclat de rire
Ginou, j'en ai l'impression. Même si chaque espèce a probablement des besoins particuliers (haies, branches hautes, sous-toit) et des fonctionnements soit grégaires (comme les moineaux) soit individualistes.
Colette, j'espère que ça va fonctionner. Pour l'instant la bande de moineaux semble perplexe et essaye de faire comme avant.
A suivre...
5. par Cunégonde, le samedi 25 septembre 2021 à 09h24 commentaire
Mais tu sais bien que les bestioles ne pensent pas comme nous. Tu leur enlèves leurs dortoirs. Il faudra que les prochains soient douillets et acceptés.