Rassemblement d'étourneaux snobés par le couple de corneilles "propriétaire" des lieux.
(photo prise hier, 28/09/2021, vers 16h30)
Où l'on dénombre plus d'une cinquantaine d'étourneaux. D'autres étaient un peu plus à droite. Nombre total estimé à plus d'une centaine.
Où l'on voit également le couple habituel de corneilles de part et d'autre de la serre. Corneilles s'étant "appropriés" notre jardin depuis plusieurs années et qui, du coup, refusent catégoriquement la présence de tout rapace ayant des velléités de chasser le campagnol mais tolèrent les pies et les oiseaux de petite taille.
Où l'on aperçoit des pieds de tomates dans la serre, un peu beaucoup fatigués après une belle production et qui vont bientôt être arrachés.
Où l'on devine entre deux arbres, au delà de notre clôture partiellement cachée par de la charmille, un bout de l'ancienne ligne Grévy...
1. par Gilsoub, le mardi 28 septembre 2021 à 14h43 commentaire
un petit remake Hitchcockien en perspective ? avec des étourneaux cela aurait une autre gueule
2. par Colette, le mardi 28 septembre 2021 à 21h04 commentaire
Une bonne flopée ! Il y a de la place pour les accueillir !
3. par mirovinben, le mercredi 29 septembre 2021 à 05h44 commentaire
Gilsoub, en sortant sur le balcon, la centaine (peut-être plus) d'étourneaux passaient au dessus de la maison, à frôler presque l'antenne télé. C'était très impressionnant, beau et, évidemment, impossible à photographier (trop vite, trop près). Et j'ai pensé alors aux nuées d'étourneaux admirées dans certains documentaires animaliers.
Colette, certes, mais je regrette leur qui-vive très affûté qui, dès que je sors sur le balcon, les effarouche et les fait s'envoler ailleurs... Du coup ma photo (prise à travers la la vitre) n'est pas super et les fait se confondre avec des feuilles mortes.
4. par Ginou, le mercredi 29 septembre 2021 à 08h50 commentaire
Quand je vais admirer le lever de soleil sur la plage du Racou des nuées d'étourneaux surgissent de la colline voisine et se dirigent vers les villes environnantes : elles passent par vagues successives au dessus de ma tête, trop vite en effet, pour être photographiées!