Crayonné retrouvé lors d'un rangement...
Dans le cadre d'un déménagement progressif et tout en douceur de nos affaires entre l'ancien lieu de vie et l'actuel, j'ai retrouvé une pochette contenant un certain nombre de dessins et gouaches que j'avais commis il y a plus de 30 ans et dont j'avais quasiment oublié l'existence.
Je vous propose ce crayonné représentant le Matoun, mon chat de l'époque.
Pas grand mérite à l'avoir... heu... croqué, car dessiné à partir d'une diapo. Mais j'avais envie de partager avec vous le plaisir de cette (re)découverte...
Et même que j'ai retrouvé la diapo...
... qui date de mars 1978.
Je me souviens avoir eu un peu de mal à me mettre à son niveau : à plat ventre sous une table basse... Mais, à cette époque, j'étais jeune, svelte et avec une quinzaine de kilos en moins.
Ca aide...
1. par Anthom, le dimanche 22 février 2009 à 09h38 commentaire
Elle est vraiment très belle cette photo, il y a quelque chose dans la fluidité de la pose du chat et dans le jeu des reflets qui évoque la posture d'un patineur...(un vrai qui évolue sur un lac, pas un faux sous les projecteurs de Bercy, il s'entend!)
Ah! les diapos, quand même, c'était chouette! Mais, mais la photo numérique sur un écran d'ordinateur, il faut l'avouer, redonne un peu les joies de la transparence...
2. par Anthom, le dimanche 22 février 2009 à 11h38 commentaire
Zut..j'ai oublié de te dire aussi que j'aimais beaucoup le croquis...
3. par mirovinben, le dimanche 22 février 2009 à 13h07 commentaire
Merci !…
Je ne regrette pas les diapos et encore moins les négatifs couleur et leur tirage papier. Le coût et le délais entre le shoot et le résultat étaint décidément trop longs.
Je suis accro au numérique et m’amuse très beaucoup bien avec.
Si pédagogique ! Avec, en prime, un labo en post-traitement qui ne demande ni gestion fine des produits chimiques ni utilisation d’une lumière inactinique, ni comptage savant des temps de
cuissontraitement.C’est si agréable et si plaisant de retravailler, même très légèrement les photos brutes de capteur que j’aurais tort de m’en passer. Je sais que certains puristes ne jurent que par la photo non retravaillée mais j’ai fait mon choix il y a déjà un moment et ai réussi, notamment à l’époque où j’étais webmestre et membre de la Direction de la Comm de mon entreprise, à sauver des photos si peu présentables que leur auteur (parfois moi) avait envie de changer de métier.