Etape n°3 : retourner, gratter, bêcher, nettoyer la terre nourricière...
Parmi les travaux préparatoires : faire en sorte que la terre destinée aux plantations soit accueillante.
Comme les autres années, 5 zones sont prévues en bas du terrain, là où le sol garde mieux son humidité, aidé en cela par la relative proximité d'un puits perdu alimenté par la fosse septique. Deux rectangles de 6 m x 4 m et 3 bandes de 6 m x 2 m.
Ces zones, créées depuis que nous avons le terrain, ont fait l'objet de nombreux bêchages ces dernières années, complétés régulièrement par l'ajout de cendres, d'or brun et du produit de notre pourrissoir. Faut dire que la terre est très argileuse et, sans ces amendements, serait difficile à travailler l'été.
Le potager "d'en haut", mis en place par les précédents propriétaires et proche de la maison, mesure 4 m x 5 m et est plutôt destiné aux aromates (romarin, ciboulette, estragon, sauge, entre autres), à des fruits rouges (fraises, framboises, autrefois et prochainement cassis et groseilles) et à quelques variétés de fleurs (roses, iris, narcisses).
Nos efforts commencent à payer et les bêchages sont de plus en plus aisés.
1. par JYP, le mercredi 25 mars 2009 à 16h39 commentaire
Oh Mon Dieu , ayez pitié de Nous , pauvres Bêcheur !
Et je sais de quoi je parle ( à moins grande surface )
2. par mirovinben, le vendredi 27 mars 2009 à 07h33 commentaire
J'ai eu l'autorisation de sortir le motoculteur.
Ce qui a évité des maux de dos quasi certains mais a fourni un résultat moins propre : ce genre de machin enterre et fractionne les mauvaises herbes, alors qu'à la main le désherbage est plus complet même si très chiant, moins rapide et plus douloureux.