
Faisan, pommes et moutarde...
Photo[1] d'un faisan que je devine pas très sauvage. Sans doute lâché récemment pour le plaisir des chasseurs.
Au tout premier plan, quelques pommes (des reinettes Baumann). Vient ensuite le rectangle qui avait accueilli nos pommes de terre et est à présent garni de pieds de moutarde destinés à servir d'engrais vert après l'hiver...
...Et le faisan qui fait une pause chez nous, comme les années précédentes (ici ou là). Je suppose que ce n'est pas le même mais aimerais croire que si.
1. par saperli, le samedi 25 septembre 2010 à 16h08 commentaire
à lire ton titre, j'ai cru qu'il s'agissait d'une recette de cuisine, ce qui me faisait penser "berk, berk, berk"....
2. par Cunégonde, le samedi 25 septembre 2010 à 18h40 commentaire
J'aimais bien tes précédentes photos de faisans.
3. par mirovinben, le dimanche 26 septembre 2010 à 07h43 commentaire
saperli, j'avoue, à ma grande honte (?), l'avoir fait exprès...
Cunégonde : sans aucun doute. Sauf que les conditions de prise de vue n'étaient pas du tout les mêmes : volatile beaucoup plus loin (100m), persistant à rester dans ce coin, longtemps caché par la moutarde, photographié depuis une fenêtre de la maison légèrement entrouverte pour ne pas l'effaroucher, mon bras droit coincé par cette foutue tendinite qui dure, dure, dure. Dur.
4. par Anthom, le dimanche 26 septembre 2010 à 14h57 commentaire
L'an dernier, j'ai semé de la phacélie à l'emplacement des pommes de terre, la moutarde sur le reste du terrain. Cette année, avec le déménagement, j'ai été prise de court, las! point d'engrais vert, ni d'ailleurs de mâche ni de laitue d'hiver, on ne peut pas être au four et au moulin!
A l'heure qu'il est, je déballe d'un côté, je déballe de l'autre, j'ai l'impression que je ne vais jamais parvenir à émerger de cet océan de cartons! Mais la brume sur les petits matins foréziens est plus belle que jamais! Pour les photos, il faudra encore attendre un peu... Je ne sais même plus où j'ai rangé l'appareil!
Bon courage pour ta tendinite, j'ai donné au printemps. Je l'ai soignée à l'homéopathie, teinture mère de symphitum, massage de trois minutes, matin et soir et repos pour le bras concerné (il s'agissait du coude gauche, nom savant de la chose: épicondylite (le mal des tennismen, cela me fait bien rire, moi qui n'ai jamais tenu une raquette de ma vie!)