Difficile de prendre la porte sans elles.
Partons du fait que la maison a été construite vers la fin des années 60, que les normes n'étaient pas ce qu'elles sont devenues, que certains mécanismes soumis à des actions répétées se sont usés. Et, donc, que les ressorts de certaines serrures intérieures ont pris un sacré coup de mou, que des pênes ne reviennent plus au repos. Ensembles métalliques sertis et/ou indémontables.
Solution : remplacer les serrures en gardant les poignées toutes identiques mais introuvables à présent.
Sauf que les trous ne correspondent plus guère, que l'écartement entre le carré de la poignée, la clé pour verrouiller, le pêne et la gâche ne sont plus tout à fait les mêmes. Une remise aux normes s'impose donc : remplacement des poignées qui ont à présent un ressort de rappel intégré soulageant le retour du pêne et replacement des serrures.
D'où ces poignées sans portes, tombées au champ d'honneur.
1. par Ysabeau, le mercredi 08 décembre 2010 à 09h21 commentaire
Si on arrive à souder la poignée à sa plaque de propreté, on peut en faire des porte-manteaux rigolos.
2. par marielouis, le mercredi 08 décembre 2010 à 12h52 commentaire
Comme j'aime la science-fiction et que j'ai l'esprit mal tourné, j'ai cru voir une scène d'orgie de robots ! ! !
3. par Cunégonde, le mercredi 08 décembre 2010 à 17h42 commentaire
Moi, je trouvais aussi que ça ressemblait à... Je mets ça sur le compte de la migraine!
4. par mirovinben, le jeudi 09 décembre 2010 à 08h07 commentaire
Ysabeau, je retiens l'idée.
marielouis : j'aime également la science-fiction, j'ai aussi l'esprit mal tourné et je dois reconnaître qu'une certaine auto-censure a présidé à la rédaction de ce billet.
Cunégonde, la migraine est parfois une mauvaise excuse...