Il y a comme du murissement côté fraisiers. Encore discret, parfois à l’abri des regards des bipèdes mais pas de celui de certains mini-visiteurs. En examinant la photo lors de sa préparation pour le blog, j'ai repéré plusieurs insectes...
Espérons que ces visiteurs (et d'autres, bien plus goulus[1]) nous en laisseront suffisamment pour quelques dégustations avec ou sans crème, fromage blanc et/ou sucre.
[1]Une année, visite d'un jeune chevreuil qui avait proprement scalpé les pieds. D'autres années, des merles. cette année je n'ai guère envie de couvrir les pieds de filets qui gênent aussi pour nos propres cueillettes.
1. par Cunégonde, le vendredi 06 mai 2011 à 12h11 commentaire
je ne recommence à manger des fraises que depuis trois ans environ. J'ai tellement amgé enfant (des tonnes, sans exagérer) que j'en étais dégouté.
2. par Gilsoub, le vendredi 06 mai 2011 à 14h31 commentaire
Slurp, miam... Et tu as un arbre à crème fraiche à coté?
3. par mirovinben, le vendredi 06 mai 2011 à 15h15 commentaire
Cunégonde : mon père disait à propos des fraises : “J’en mangerais sur la tête d’un galeux”. Cette phrase m’avait fortement impressionné tout jeune.
Sinon, mon péché mignon est de compléter largement avec de la crème liquide et un chouïa de sucre selon le degré de murissement (voui, des fois je suis un peu pressé de déguster) puis d’en faire une sorte de bouillie grossière. Pas esthétique mais goûteux.
Gilsoub, j’aurais aimé mais je n’ai pas trouvé de graine(s) ou de jeune(s) pousse(s) de cet arbre.
4. par Saperli, le vendredi 06 mai 2011 à 21h39 commentaire
j'ai vu la même chez moi ! La première aussi.