Il était une fois Mirovinben qui se rendait au sous-sol du petit immeuble où il habitait. A l'époque, il avait un chat, "Matoun", qui l'accompagnait à la cave. Les voisins du dessous avaient une très jeune chatte, "Myrtille", qui furetait souvent dans les parties communes.
Miaulements étranges. Musique inhabituelle. Nous découvrons Myrtille qui frotte son arrière-train sur le sol cimenté en avançant à écorche-cul et qui "chante" des miaous langoureux. C'est la première fois qu'elle est en chaleur. Matoun la regarde faire, perplexe et très embarrassé.
"Miaule toujours, Myrtille, je suis castré..."
Ma participation du jour au "366 obsolètes à prise rapide".
A écorche-cul : en glissant, en se traînant sur le derrière.
1. par Chamamy, le samedi 23 mars 2013 à 09h07 commentaire
Scène romantique....;-)
2. par Anthom, le samedi 23 mars 2013 à 10h04 commentaire
Expression savoureuse, mais peut-elle être utilisée pour les zhumains que nous sommes?
3. par mirovinben, le samedi 23 mars 2013 à 13h16 commentaire
Chamamy, dérangeante plutôt. En tout cas c'est comme ça que je l'ai ressenti à l'époque.
Anthom, attendons de lire les prestation des autres participants...