Carotte issue de notre potager et photographiée le 25 septembre dernier
10 réactions
1.
par mirovinben, le jeudi 29 septembre 2016 à 09h36 commentaire
Au vu des nombreuses réactions, il semblerait bien que cette photo de carotte et/ou ce titre médicalisé ont jeté comme un froid...
2.
par danielle, le jeudi 29 septembre 2016 à 11h17 commentaire
pourtant ce n'est pas contagieux! je me disais que le jardinier devrait suivre une formation de podologue? ^-^
3.
par marielouis, le jeudi 29 septembre 2016 à 11h44 commentaire
... Et déjà lui couper les ongles !
4.
par mirovinben, le vendredi 30 septembre 2016 à 07h32 commentaire
danielle, voui, ce n'est pas contagieux. Il me semble qu'il serait préférable pour un jardinier de suivre une formation de pédologie. Ça lui éviterait peut-être d'avoir des carottes difficiles à éplucher.
marielouis, des ongles ? des griffes plutôt.
5.
par Marie, le vendredi 30 septembre 2016 à 12h04 commentaire
En juillet 2015 il y avait la bipédie des carottes (si on veut parce que certaines étaient quand-même un peu tripédiques...)
A ma remarque sur les conditions de culture, tu répondais :
Marie, hélas !... Notre terrain est (très) argileux et bien loin de la consistance du sable. Il va falloir envisager de prévoir une zone plus "légère" avec import de sable de rivière. Idée que je soumets à la jardinière en chef depuis plusieurs années... En vain jusqu'à présent.
Je suis sûre que la jardinière en chef fait ça exprès parce que c'est toi qui épluche les carottes et qu'elle pense que ça doit t'occuper, je ne vois que ça ou alors c'est de la cruauté mentale (à ton égard et à celui des carottes tourmentées).
J'ai constaté que celles de mars 2016 retrouvées par hasard quand la jardinière préparait le terrain pou les oignons, étaient à peu près correctes (mais bon 700 gr dans l'année ça fait pas derche si on vise à tout prix l'amabilité extrême ou les cuisses roses en toute saison).
Et en février de la même année, une carotte normale encore mais bouffée par une limace musicienne.
Alors si aujourd'hui même les tomates d'y mettent...
6.
par mirovinben, le vendredi 30 septembre 2016 à 14h00 commentaire
Je crois en effet que la jardinière en chef le fait exprès... Et je suis victime de cruauté mentale... Merci d'en faire le constat.
Pour l'épluchage, il suffit habituellement de briser les jambes et de les traiter les unes après les autres. Habituellement car ce coup-ci c'est un tout p'tit peu plus délicat. Comme elle aime beaucoup plus les carottes que moi (qui n'aurais jamais eu l'idée d'en planter), c'est elle qui va s'en charger. Victime je suis, certes mais rebelle aussi.
Tiens... "rebelle" fait très féminin comme mot même pour un mec.
7.
par Marie, le samedi 01 octobre 2016 à 10h45 commentaire
Je me doutais que tu était un brin martyrisé, rebelle-toi donc plus souvent !
Résiste !
(et non ça ne fait pas plus féminin que ça, je ne trouve pas).
8.
par mirovinben, le dimanche 02 octobre 2016 à 08h24 commentaire
J'avais envie d'écrire "rebel" mais mon correcteur orthographique a couiné.
Le masculin de rebelle devrait être "rebeau", non ? Sauf que ça sonne moyennement et est contraire à son étymologie :
Emprunté au latin rebellis ("qui recommence la guerre, rebelle, qui se révolte, se soulève")
1. par mirovinben, le jeudi 29 septembre 2016 à 09h36 commentaire
Au vu des nombreuses réactions, il semblerait bien que cette photo de carotte et/ou ce titre médicalisé ont jeté comme un froid...
2. par danielle, le jeudi 29 septembre 2016 à 11h17 commentaire
pourtant ce n'est pas contagieux! je me disais que le jardinier devrait suivre une formation de podologue? ^-^
3. par marielouis, le jeudi 29 septembre 2016 à 11h44 commentaire
... Et déjà lui couper les ongles !
4. par mirovinben, le vendredi 30 septembre 2016 à 07h32 commentaire
danielle, voui, ce n'est pas contagieux. Il me semble qu'il serait préférable pour un jardinier de suivre une formation de pédologie. Ça lui éviterait peut-être d'avoir des carottes difficiles à éplucher.
marielouis, des ongles ? des griffes plutôt.
5. par Marie, le vendredi 30 septembre 2016 à 12h04 commentaire
En juillet 2015 il y avait la bipédie des carottes (si on veut parce que certaines étaient quand-même un peu tripédiques...)
A ma remarque sur les conditions de culture, tu répondais :
Marie, hélas !... Notre terrain est (très) argileux et bien loin de la consistance du sable. Il va falloir envisager de prévoir une zone plus "légère" avec import de sable de rivière. Idée que je soumets à la jardinière en chef depuis plusieurs années... En vain jusqu'à présent.
Je suis sûre que la jardinière en chef fait ça exprès parce que c'est toi qui épluche les carottes et qu'elle pense que ça doit t'occuper, je ne vois que ça ou alors c'est de la cruauté mentale (à ton égard et à celui des carottes tourmentées).
J'ai constaté que celles de mars 2016 retrouvées par hasard quand la jardinière préparait le terrain pou les oignons, étaient à peu près correctes (mais bon 700 gr dans l'année ça fait pas derche si on vise à tout prix l'amabilité extrême ou les cuisses roses en toute saison).
Et en février de la même année, une carotte normale encore mais bouffée par une limace musicienne.
Alors si aujourd'hui même les tomates d'y mettent...
6. par mirovinben, le vendredi 30 septembre 2016 à 14h00 commentaire
Je crois en effet que la jardinière en chef le fait exprès... Et je suis victime de cruauté mentale... Merci d'en faire le constat.
Pour l'épluchage, il suffit habituellement de briser les jambes et de les traiter les unes après les autres. Habituellement car ce coup-ci c'est un tout p'tit peu plus délicat. Comme elle aime beaucoup plus les carottes que moi (qui n'aurais jamais eu l'idée d'en planter), c'est elle qui va s'en charger. Victime je suis, certes mais rebelle aussi.
Tiens... "rebelle" fait très féminin comme mot même pour un mec.
7. par Marie, le samedi 01 octobre 2016 à 10h45 commentaire
Je me doutais que tu était un brin martyrisé, rebelle-toi donc plus souvent !
Résiste !
(et non ça ne fait pas plus féminin que ça, je ne trouve pas).
8. par mirovinben, le dimanche 02 octobre 2016 à 08h24 commentaire
J'avais envie d'écrire "rebel" mais mon correcteur orthographique a couiné.
Le masculin de rebelle devrait être "rebeau", non ? Sauf que ça sonne moyennement et est contraire à son étymologie :
(source wiktionnaire)
9. par chamamy, le dimanche 02 octobre 2016 à 19h13 commentaire
Une carotte qui tente la tripédie est une vraie rebelle,elle
10. par mirovinben, le lundi 03 octobre 2016 à 07h20 commentaire
Absolument !