Après avoir lu l'intégrale des romans d'Agatha Christie, puis la quasi totalité des livres de Charles Exbrayat, puis pas mal de bouquins écrits par Frédéric Dard (y compris quelques San Antonio), tous récupérés lors du déménagement de la bibliothèque de mon père, j'ai acheté et lu la nouvelle traduction par Daniel Lauzon du fameux Seigneur des anneaux et du non moins célèbre Hobbit de J.R.R. Tolkien (la lecture de chaque tome suivie du visionnage du DVD du film de Peter Jackson y correspondant peu ou prou).

D'autre part, la médiathèque de Dole m'a permis de lire également l'ensemble de la production d'Amélie Nothomb, au fil des mises à disposition (publication suivi de l'achat par la médiathèque). Et récemment, suivant le même circuit, j'ai dévoré la saga Malaussène de Daniel Pennac. Par ordre chronologique, s'il vous plaît.

Cela m'a permis d'enrichir le carnet où je note bons mots, aphorismes et autres bijoux textuels. J'en ai proposé quelques uns sur ce blog. J'en ai d'autres sous le coude. Des pas tristes, des provocateurs, des très pertinents.

J'ai également sous la main l'intégrale des romans de Georges Simenon et la totalité des DVD des téléfilms sur "Maigret" avec Bruno Cremer dans le rôle principal. Mais là, j'hésite un peu.

Bref, pas mal de lectures et de visionnages, pas forcément au top de la modernité.

Et là, parce que Mme Mirovinben a eu envie de se plonger dans "mes" Jules Verne en commençant par "Le tour du monde en 80 jours", relire "20 000 lieues sous les mers" m'est apparu comme une évidence, un besoin, une évasion, un retour à mon enfance-lecteur-quasi-compulsif (à l'époque sans verres correcteurs et sans presbytie).

J'ai ressorti mes quelques livres de la Bibliothèque Verte précieusement gardés dans une armoire au sous-sol. Reliures fragiles, feuilles vite volantes, parfum du temps jadis, style de l'époque...

Page 11 :

(...) Dans un article d'un journal satirique très redouté, le plus aimé de ses rédacteurs, brochant sur le tout (...)

écrit vers 1870, donc ne faisant allusion ni à Charlie Hebdo ni au Canard Enchaîné.

Ça commence plus fort que dans mes souvenirs.
Et pardon (ou pas) pour le jeu de mots pourri du titre.