Choisir dans ma photothèque entre un des chats du voisinage qui s'aventurent dans notre jardin et le Matoun ?

Ah ! Le Matoun...

Le Matoun du temps de Zouzou. Le Matoun qui avait estimé notre logis suffisamment confortable et la pitance suffisamment miam pour s'y installer. Le Matoun qui avait trouvé ses occupants humains suffisamment cools pour les adopter.

Non, là, vraiment aucune hésitation :

  • Rose à souhait[1],
  • netteté façon doudou.

Que du câlin, quoi.


[1]Alors qu'il avait le pelage blanc taché de noir.