1.
par Ginou, le vendredi 07 janvier 2022 à 08h18 commentaire
Pas partageur en effet; vu la rapidité de la diminution des réserves, on le comprend!
2.
par mirovinben, le vendredi 07 janvier 2022 à 09h31 commentaire
Héhé...
3.
par Gilsoub, le vendredi 07 janvier 2022 à 09h41 commentaire
C'est vrai qu'il ne reste plus grand chose... d'ailleurs, au final, il semble que toute les boule ont trouvé preneur
4.
par mirovinben, le vendredi 07 janvier 2022 à 10h52 commentaire
Gilsoub, désolé de t'avoir induit en erreur en proposant aujourd'hui un billet illustré (comme tous ceux publiés cette semaine dans le cadre d'une nouvelle "mini-série") avec une photo datant d'avant mon test "multi-boules" du début de cette année...
Aujourd'hui, 7 janvier, les 5 boules du 1er janvier sont toujours là. Les "vieilles" sont à présent également picorées, prouvant ainsi qu'elles intéressent les oiseaux presque autant que les "jeunes".
Faut dire qu'ils ont intérêt à ne pas trop faire la fine bouche, vu qu'il neige et que la température voisine le 0° degré Celsius.
5.
par Colette, le vendredi 07 janvier 2022 à 15h12 commentaire
Quelle superbe photo !!! non mais savoir , qui était là le premier hein ? :-))
6.
par Agdel, le vendredi 07 janvier 2022 à 15h32 commentaire
Il existe des étourneaux solitaires ? Parce qu'au Havre, ils se déplacent par bandes de plusieurs centaines (milliers ?), c'est effrayant de les voir de regrouper le soir, voler en escadrons de plus en plus grands, puis s'abattre sur les deux malheureux résineux au pied de l'immeuble, où ils vont passer la nuit en piaillant sans cesse (ils ne dorment jamais ?), même fenêtres fermées, on les entend. Les branches, le sol sont couverts de déjections.
Ça m'a donné l'envie de prendre un fusil, c'est dire !
7.
par mirovinben, le samedi 08 janvier 2022 à 05h06 commentaire
Colette, pour avoir été présent au moment de la rencontre amicale, celui qui était là le premier est celui qui est cramponné au distributeur.
Agdel, je constate cette année qu'il y a aussi des étourneaux solitaires. Un ou deux pour l'instant. Des marginaux sans doute.
Alors que cet automne encore j'ai vu des groupes d'une cinquantaine (comme là) qui atterrissaient régulièrement dans le jardin mais s’enfuyaient dès qu'ils s'apercevaient de notre présence.
1. par Ginou, le vendredi 07 janvier 2022 à 08h18 commentaire
Pas partageur en effet; vu la rapidité de la diminution des réserves, on le comprend!
2. par mirovinben, le vendredi 07 janvier 2022 à 09h31 commentaire
Héhé...
3. par Gilsoub, le vendredi 07 janvier 2022 à 09h41 commentaire
C'est vrai qu'il ne reste plus grand chose... d'ailleurs, au final, il semble que toute les boule ont trouvé preneur
4. par mirovinben, le vendredi 07 janvier 2022 à 10h52 commentaire
Gilsoub, désolé de t'avoir induit en erreur en proposant aujourd'hui un billet illustré (comme tous ceux publiés cette semaine dans le cadre d'une nouvelle "mini-série") avec une photo datant d'avant mon test "multi-boules" du début de cette année...
Aujourd'hui, 7 janvier, les 5 boules du 1er janvier sont toujours là. Les "vieilles" sont à présent également picorées, prouvant ainsi qu'elles intéressent les oiseaux presque autant que les "jeunes".
Faut dire qu'ils ont intérêt à ne pas trop faire la fine bouche, vu qu'il neige et que la température voisine le 0° degré Celsius.
5. par Colette, le vendredi 07 janvier 2022 à 15h12 commentaire
Quelle superbe photo !!! non mais savoir , qui était là le premier hein ? :-))
6. par Agdel, le vendredi 07 janvier 2022 à 15h32 commentaire
Il existe des étourneaux solitaires ? Parce qu'au Havre, ils se déplacent par bandes de plusieurs centaines (milliers ?), c'est effrayant de les voir de regrouper le soir, voler en escadrons de plus en plus grands, puis s'abattre sur les deux malheureux résineux au pied de l'immeuble, où ils vont passer la nuit en piaillant sans cesse (ils ne dorment jamais ?), même fenêtres fermées, on les entend. Les branches, le sol sont couverts de déjections.
Ça m'a donné l'envie de prendre un fusil, c'est dire !
7. par mirovinben, le samedi 08 janvier 2022 à 05h06 commentaire
Colette, pour avoir été présent au moment de la rencontre
amicale, celui qui était là le premier est celui qui est cramponné au distributeur.Agdel, je constate cette année qu'il y a aussi des étourneaux solitaires. Un ou deux pour l'instant. Des marginaux sans doute.
Alors que cet automne encore j'ai vu des groupes d'une cinquantaine (comme là) qui atterrissaient régulièrement dans le jardin mais s’enfuyaient dès qu'ils s'apercevaient de notre présence.