(photo prise hier, 15/02/2022, vers 17h)
Pour que les choses soient bien carrées,
pour que le fugace soit bien capté,
pour que les couleurs soient fidèles
au si grisou Miro actuel.
(photo prise hier, 15/02/2022, vers 17h)
Pour que les choses soient bien carrées,
pour que le fugace soit bien capté,
pour que les couleurs soient fidèles
au si grisou Miro actuel.
1. par Ginou, le mercredi 16 février 2022 à 08h29 commentaire
Très joliment dit ou poème bien illustré ?
2. par mirovinben, le mercredi 16 février 2022 à 08h35 commentaire
Je ne sais pas... je crains que ce poème soit très "mirlitonesque" et la photo plutôt "gristouille", à l'image de mon ressenti du moment.
Décidément, va falloir que je change mes habitudes de publication.
Elles semblent trop "tôtives", trop impactées par mes fins/faims de nuit. Il fait trop sombre tant dehors que dedans. Pas encore mis le starter, ni réussi à arrêter le petit vélo qui trotte dans ma tête.
Faut vraiment que j'ouvre mes chakras (et les volets) et attende que le moteur tourne rond avant de publier ici.
3. par Gilsoub, le mercredi 16 février 2022 à 10h01 commentaire
J'adore l'ambiance, j'adore cette photo
4. par Colette, le mercredi 16 février 2022 à 18h08 commentaire
Toi tu devrais écouter Aznavour ......
"Moi qui n'ai connu toute ma vie
Que le ciel du Nord
J'aimerais débarbouiller ce gris
En virant de bord" !!!
Perso, je l'aime bien ta photo, il faut des jours gris pour pouvoir apprécier le soleil ! elle respire la tranquillité ta photo ! oui, le ciel est gris, mais il n'est pas noir !! c'est un jour à apprécier la quiétude de son chez soi et à se dire que demain sera un autre jour ! cool.......
5. par mirovinben, le jeudi 17 février 2022 à 05h42 commentaire
Gilsoub, quand on n'a pas de vagues, de rochers et d'embruns iodés sous la main, les nuages sont bien pratiques...
Colette, le "gris dehors" est chiant quant il est uniforme, mouillé et que ça dure des jours, mais, tu as raison, il fait mieux apprécier ultérieurement les nuages au formes multiples et photogéniques.
En troussant mes vers de mirliton, je pensais plus au "gris dedans" (comprendre : dans ma tête).