Les cornes et les taches, c’est pour les vaches montbéliardes, pas pour les livres prêtés.
Mézigue
(d'après une idée de Mme Mirovinben)
Les cornes et les taches, c’est pour les vaches montbéliardes, pas pour les livres prêtés.
Mézigue
(d'après une idée de Mme Mirovinben)
1. par Ginou, le jeudi 17 février 2022 à 08h30 commentaire
Les Mirovinben ne manquent pas d'humour ....et en plus ils ont bien raison !
2. par mirovinben, le jeudi 17 février 2022 à 09h41 commentaire
Rendons à César ce qui est à César et à Ma-Dame ce qui est à Ma-Dame. Je me suis borné à ajouter à sa phrase deux mots. Qui sont "montbéliardes" et "prêtés"...
Et encore, c'est elle qui avait en tête la robe tachetée des vaches montbéliardes. Franc-comtoises... comme elle.
3. par Gilsoub, le jeudi 17 février 2022 à 10h54 commentaire
De toute façon, le vrai problème des livres prêtés, c'est déjà de pouvoir les récupérer !
4. par Anthom, le jeudi 17 février 2022 à 14h30 commentaire
Les taches, je n'aimerais pas trop, mais les pages cornées, je ne suis pas trop regardante. Il est vrai que j'ai toujours dit à mes élèves:" un livre ce n'est pas un objet sacré, n'hésitez pas à écrire, souligner...c'est vous qui lui donnez vie, Lire, c'est aussi dialoguer avec celui qui a écrit le livre..."
5. par Colette, le jeudi 17 février 2022 à 18h37 commentaire
Bien vu par Ta -Dame ! je n'aime pas les taches sur les livres mais par contre quand j'étais jeune (il y a longtemps :-)) ....-:))...) j'annotais systématiquement tous mes livres ! Bon, je le faisais au crayon de papier, c'est déjà un peu mieux qu'à l'encre !! mais du coup, rares étaient ceux à qui je prêtais mes livres, ils étaient devenus bien trop personnels ! ça m'amuse maintenant quand j'en relis !!
6. par mirovinben, le vendredi 18 février 2022 à 06h36 commentaire
Gilsoub, personnellement, je n'aime pas/plus prêter ni 33t (un Best Of de Bob Dylan m'est revenu rayé), ni DVD (une amie a mis près d'un an pour me le rendre), ni bouquin... En effet certains ne sont jamais revenus (dont un Vincenot important à mes yeux, que j'ai dû racheter).
Dans le cas présent c'est la Médiathèque qui est concernée. Certains livres nous arrivent dans un drôle d'état.
Anthom, j'ai toujours eu du mal à marquer quoique ce soit sur un livre (éducation paternelle ?). Surtout s'il ne m'appartient pas.
Mais je comprends ta position en tant que prof de français, où le livre peut être considéré comme un support de cours tant du côté enseignant que du côté des élèves.
Colette, ah oui, en effet... Jamais je me suis senti autorisé à corner ou annoter un livre perso. (à plus forte raison un livre emprunté). Du coup la relecture de livres de ma jeunesse n'a pas ce charme-là.