Aujourd'hui : repiquage des poireaux
A peine les pommes de terre ramassées, triées, comptées et rangées à la cave, voilà le temps venu du repiquage des poireaux.
Profitant de la terre bien retournée après l'extraction des tubercules et après une rapide passe du motoculteur hier soir pour égaliser, j'ai repiqué une centaine de très jeunes poireaux achetés (*) chez un horticulteur du coin.
Ce sont des poireaux d'hiver qui devraient donner jusqu'en mars prochain. Nous testons cette année une nouvelle variété : des Armor en lieu et place des habituels Bleus de Solaize. Pas eu trop le choix mais l'horticulteur ne nous en dit que du bien.
Il ne produit que ceux-là, tant pour repiquer que pour vendre sur le marché. Et c'est vrai qu'ils sont beaux et goûteux...
Mme Mirovinben s'est chargée de l'habillage des poireaux
qui consiste à couper l'extrémité des feuilles pour relancer la pousse
et les racines pour éviter qu'elles "rebiquent" lors de la mise en terre.
(*) Vendus par multiples de 25, nous en avons acheté 75 et comptés lors de "l'habillage" : 100... pour environ 10 €.
1. par saperli, le dimanche 31 août 2008 à 21h05 commentaire
ben enfin, tu ne produits pas ton plant ? J'admire ce genre de travail au jardin...Mais ici, la soupe on n'en mange pas assez pour repiquer des poireaux à la place des fleurs, je les achète, et comme un poireau c'est encore beaucoup, je le coupe en rondelle et hop, au congèle !
2. par darcy, le lundi 01 septembre 2008 à 01h02 commentaire
ha le jardin, c'est le paradis pour celui qui sait lire entre les sillons apparemment
3. par mirovinben, le lundi 01 septembre 2008 à 06h31 commentaire
saperli, ben non, pas de production des plans... pour l'instant... Mais Mme Mirovinben qui sera en retraite fin décembre et qui me rejoindra alors, prépare déjà ce genre d'opération : elle a récolté des graines de poireaux qui sont allés jusqu'au bout de leur croissance. Un poireau préparé et coupé en gros morceaux dans une boîte au frigo tient facilement une semaine. Et j'adore la soupe poireau-patate-ail. Donc il est mangé bien avant ce délais.
darcy, le paradis ? je ne sais pas. Ce que je sais c'est qu'il doit se mériter à grands coups de courbatures, de suées, de maux de dos et d'ampoules. Mais, après, c'est vrai que c'est bien... comme ton jeu de mots... héhé...