Sans hâte et sans soulagement particulier.

Très discrète, elle n'aime pas qu'on parle d'elle. Donc je vais parler de moi. Ca m'arrange : j'en connais mieux le mode d'emploi.

Comme le savent ceux qui viennent régulièrement en ces lieux, je suis en situation de pré-retraite depuis juillet 2006 et habite à plein temps une maison à Dole entourée d'un jardin. Citadin dans l'âme, je me suis ainsi découvert une vocation de... heu... "légumiste" ou tout au moins de photographe-cantonnier.

Mme Mirovinben travaillant à Dijon (à 50km de Dole), fils-Cadet encore étudiant à Dijon et n'ayant pas encore quitté le nid douillet, nous avions alors décidé de faire logement à part. Ainsi, elle me rejoint le week-end et, pendant qu'elle remet un peu d'ordre dans le jardin, je lui mitonne des petits plats.

Nous pratiquons ainsi depuis juin 2006. Et c'est plutôt agréable. Quelques moments de solitude parfois plombés par une météo tristouille mais comme c'est voulu et que 50 km, c'est pas la mer à boire, il n'y a pas de problème.

Seulement voilà... le 20 décembre est vite là et il va me falloir lui laisser de la place. J'ai pris depuis deux ans quelques mauvaises habitudes de solide-à-terre célibataire avec mes propres maniaqueries et mes rangements à moi très... heu... personnels.

Pour me préparer et vous préparer à cet évènement ô combien mondial de tout l'univers de la planète, je mets donc un compteur qui compte ce qui me reste de... hum... temps libre.

N'empêche que je suis peut-être le plus impatient des deux... héhé...