Tokyo - 27/11/2012 - 19h25
Une pleine lune tokyoïte qui ressemble comme une sœur à une pleine lune doloise... C'est bien le seul point commun entre ma vie au Japon et ma vie en Franche-Comté.
Pour le reste, total dépaysement. Même si je me suis documenté, même en lisant les récits de mon frère, en écoutant Mme Mirovinben et Fils-Aîné. Moi qui veut tout comprendre de ce qui m'entoure, j'ai dû, parfois, un peu, lâcher prise.
Aucune compétence dans la lecture des kanjis, hiraganas et autre katakanas. Tous joyeusement mélangés dans la même phrase. Et puis, parfois, quelques mots d'anglais, quelques signalétiques en caractères rômaji, les seuls que mon neurone sait lire.
Ma grande hantise lors de nos déplacements dans la foule des gares, des carrefours et des marchés : perdre de vue Fils-Aîné et Ma-Bru. Et me retrouver bien désemparé avec, pour seule bouée, un morceau de papier avec l'adresse de l'hôtel et le numéro (japonais) de téléphone portable de Ma-Bru. Numéro à communiquer à la police au cas où pour appeler à ma place puisque je n'ai pas de GSM perso.
Sauf que ça n'est pas arrivé.
Les cartes facilitant la localisation des villes visitées.
1. par Sacrip'Anne, le vendredi 28 décembre 2012 à 08h50 commentaire
J'aime ta conclusion ! Et je ne doute pas qu'ils ont tout fait pour te faire sentir confiant de ne pas les perdre.
2. par mirovinben, le vendredi 28 décembre 2012 à 14h25 commentaire
Tu noteras la coïncidence plus ou moins voulue entre ce billet qui évoque la pleine lune de fin novembre à Tokyo et sa date de publication, le jour de la pleine lune de fin décembre en Comté...
3. par David @ Takamatsu, le samedi 29 décembre 2012 à 11h45 commentaire
Étrangement, et malgré la taille et la foule, je trouve plus facile de me repérer à Tokyo bien plus facile que partout ailleurs au Japon. Peut-être parce que l'anglais y est bien plus présent.
4. par mirovinben, le samedi 29 décembre 2012 à 18h46 commentaire
Nous devions souvent nous dépêcher et j'avais du mal à me repérer. D'où une totale confiance en mes guides... De toute façon, même en anglais (que je maîtrise guère), les noms des stations ne me disaient pas grand chose..
Je suis un piètre voyageur...