(photo prise le 20/09/2020 à 16h29)
La balade de dimanche dernier se termine. Nous sommes sur le chemin du retour et entrons dans Crissey.
Un faisan est tout proche des premières maisons, probablement lâché par une société de chasse et sans doute plus tranquille là que dans les champs ou les bois.
Nous en voyons de temps à autre, y compris dans notre jardin (par exemple en 2007, 2009 ou 2010).
1. par Tomek, le vendredi 25 septembre 2020 à 11h00 commentaire
Chemin faisant (oui, bon)… Belle prise photographique !
2. par Ginou, le vendredi 25 septembre 2020 à 13h07 commentaire
Les faisans " lâchés" par les sociétés de chasse sont pour la plupart peu sauvages car élevés par l'homme.. leur chasse n'est pas très glorieuse . Celui-ci reste néanmoins une belle prise photographique
3. par lynxxe, le vendredi 25 septembre 2020 à 16h53 commentaire
Qu'est-ce que ça me plait quand la bestiole est là tout naturellement, partie intégrante de son territoire qu'elle veut bien nous partager. Je sais, si ton cadrage illustre tout à fait mes propos, le faisan n'est pas le bon exemple, juste la proie lâché à ces c** de chasseurs. Une année, un faisan et son harem ont passé l'automne et une partie de l'hiver dans mon jardin, tapant dans les mangeoires au sol. Ils m'ont bien plu, même s'ils avaient bon appétit.
Cette balade photographique était fort agréable, et j'en ai apprécié chaque instantané.
4. par mirovinben, le samedi 26 septembre 2020 à 06h45 commentaire
Tomek, "Chemin faisant (oui, bon)..." Bon ? C'est excellent même. Je regrette fort de ne pas y avoir pensé pour le titre du billet
Ginou, en effet et l'actualité récente montre que même leur élevage n'est pas glorieux. (voir constat par L214 ici).
lynxxe, je suis complètement d'accord. Et, comme nous ne sommes pas très loin de zones de chasse (bras du Doubs, forêt de Chaux), nous avons de temps à autre la visite de ces faisans plutôt tranquilles voire, quand la clôture était encore une haie, de jeunes chevreuils (2012, 2018) sans doute pour d'autres raisons que la chasse : probablement l'arrivée de nouveaux faons qui fonctionne selon le principe "une nouvelle portée chasse l'autre".